Né à Vevey en 1985 et aujourd’hui installé à Zurich, Marc Méan cultive l’art du contraste et de la métamorphose. Pianiste de jazz, il a su forger au fil de vingt années de carrière un langage singulier, à la croisée des mondes acoustiques et électroniques, des paysages brumeux et des éclats de lumière.
Son parcours, jalonné de projets éclectiques, révèle une curiosité insatiable. On le découvre dans le jazz épuré et contemplatif de son trio Fields – formé en 2021 avec Paul Amereller à la batterie et Patrice Moret à la contrebasse –, dont le premier album « Mist » (Unit Records, 2024) a été salué par la critique pour son équilibre entre tension et sérénité. Mais aussi dans des territoires plus expérimentaux, à l’image de son projet solo où orgues d’église, synthétiseurs modulaires et bandes magnétiques se rencontrent pour créer des environnements immersifs, comme sur
« Rituals » (Tone Burst, 2022) ou « Winds » (2023).
Improvisateur dans l’âme, Marc Méan aborde la musique comme un dialogue perpétuel – avec ses partenaires sur scène, avec les machines, avec le silence. Ses compositions, souvent esquissées puis laissées à l’appétit du collectif, respirent et évoluent en direct. Inspiré tant par Satie que Radiohead, Sonic Youth ou Keith Jarrett, il cherche moins la virtuosité que la justesse du récit, la beauté de l’imprévu.
Que ce soit au piano dans l’intimité d’un trio, ou seul face à un arsenal électronique, sa démarche reste guidée par une quête d’authenticité. Une musique qui ne cherche pas à plaire, mais à être – organique, sincère, profondément personnelle.
« Une funkelnde, tiefe Meditation » – Concerto
« Une musique qui prend son temps, pour mieux nous emporter » – Jazzthing
Son parcours, jalonné de projets éclectiques, révèle une curiosité insatiable. On le découvre dans le jazz épuré et contemplatif de son trio Fields – formé en 2021 avec Paul Amereller à la batterie et Patrice Moret à la contrebasse –, dont le premier album « Mist » (Unit Records, 2024) a été salué par la critique pour son équilibre entre tension et sérénité. Mais aussi dans des territoires plus expérimentaux, à l’image de son projet solo où orgues d’église, synthétiseurs modulaires et bandes magnétiques se rencontrent pour créer des environnements immersifs, comme sur
« Rituals » (Tone Burst, 2022) ou « Winds » (2023).
Improvisateur dans l’âme, Marc Méan aborde la musique comme un dialogue perpétuel – avec ses partenaires sur scène, avec les machines, avec le silence. Ses compositions, souvent esquissées puis laissées à l’appétit du collectif, respirent et évoluent en direct. Inspiré tant par Satie que Radiohead, Sonic Youth ou Keith Jarrett, il cherche moins la virtuosité que la justesse du récit, la beauté de l’imprévu.
Que ce soit au piano dans l’intimité d’un trio, ou seul face à un arsenal électronique, sa démarche reste guidée par une quête d’authenticité. Une musique qui ne cherche pas à plaire, mais à être – organique, sincère, profondément personnelle.
« Une funkelnde, tiefe Meditation » – Concerto
« Une musique qui prend son temps, pour mieux nous emporter » – Jazzthing
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